Le crash de deux OVNIs va changer radicalement la vie et les techniques, mais l'opposition Est-Ouest reste la même. On se méfie et on s'espionne. Côté Ouest, nous avons Nico qui est à la recherche de sa mère.
Un bon classique des éditions Fluide à relire encore et encore. Un univers pittoresque dont on ne se lasse pas...
Ce troisième et dernier album se fond et conclue à merveille cette série, en en respectant le style, la philosophie et le rythme.
Les premières pages prometteuses de cet album n'ont pas suffi à donner à ce récit l'aventure et l'action nécessaire pour tenir le lecteur en haleine. La perte de rythme et le dessin ont pour une grande partie perdu le lecteur dans un récit un peu trop fourre-tout.
Quatrième tome d'une série qui a su nous retenir, cet album déçoit, se révélant à la fin ne pas être le dernier d'une série, mais celui d'un cycle.
Michel Vaillant court à Spa Francorchamps ou à Monaco. Michel arrête des fous dangereux qui veulent empêcher les courses de se dérouler. Il lutte contre le chantage. Il veut fêter l'anniversaire de sa compagne. Il est partout, et règle tout. Il est Vaillant !
Le commandant Bob Marone, fils du colonel Marone, accourt à l'appel de détresse de sa maman. Son très proche ami, Bill Galantine, va l'accompagner dans une aventure au fin fond du crétacé.
La haine que Larry voue au mafieux Madsen date de son adolescence. Il lui a volé son amour d'enfance, mais aussi les parts des studios, héritées de son père.
Larry va être opposé à une tueuse professionnelle. Mais derrière les contrats, il y a toujours un commanditaire. Et il va falloir le trouver.
Lors des fêtes organisées pour l'anniversaire du roi Fernando Belmonth, son château est attaqué par une armée levée par made Trofen, fille illégitime du souverain précédent.
Sur 64 pages, Pieter de Poortere nous raconte, par le rire et par l'image, l'histoire d'une filiation pour le moins particulière.
Dans un passé médiéval et magique, perdu dans un pays imaginaire, cette enquête aux allures de jeu de rôle retient assez bien l'attention grâce à quelques points originaux.
Dans un monde souterrain en prise avec l'injustice, la violence et les néons, apparaît une nouvelle génération de héros, dont l'unique représentant fout le Bronx à la moindre occasion.
Loin d'être mauvais, l'album n'est pas aussi fouillé qu'on aurait pu l'espérer. Loin des intrigues, Captain America fonce dans le tas entre deux discours sur la guerre et la patrie. L'album est tout de même une bonne initiation au monde des super-héros pour les jeunes lecteurs.
Et si les enfants du Village des Damnés avaient grandi ? Voilà l'idée de Warren Ellis lorsqu'il débute Freak Angels. Sa théorie va nous mener dans un très bon album à la fois intriguant et rythmé.
En parallèle de l'enquête sur d'étranges liens qu'il peut y avoir entre la banque du Vatican et d'anciens officiers nazis, les prémices du scénario des prochains épisodes nous sont dévoilés.
John Geb a l'habitude de sauver des vies. C'est son métier, il est médecin. Mais cette fois, c'est beaucoup plus difficile. Il va devoir sauver la vie de son fils contre le FBI.
Vincent Revel sauve la vie d'Alexeï dans le métro. Et cet événement courageux semble être le point de départ de la folie d'un homme. Il est « borderline ».